Sein, une fenêtre sur l'océan

22x22 cm, 144 pages, Auto-édition
Disponible à Audierne (Ar Vro & Quai de l'imaginaire) et
Sein (Case de Tom & Chez Marie-Annick)

 

 





Fasciné par les îles depuis toujours, sans doute lié à mes origines insulaires, je les ai traquées aux quatre coins du monde, espérant y retrouver d’hypothétiques racines.
Par quel croc-en-jambes linguistique, le plus beau des symboles féminins ne s’appelle pas Elle ? L’île représente l’aventure, le défi, la protection, mais aussi la solitude, inhérente quelque part à toute relation amoureuse.
Et c’est à l’île de Sein que j’ai ressenti ces liens intangibles, ce sentiment confus d’appartenance, de communion, et l’envie d’y poser mes valises, en tout cas d’y revenir le plus souvent possible.
Très sauvage et indomptable, elle sait se montrer accueillante pour celui qui la respecte, en arpentant ses quais nord et sud, sa lande, ses monuments, et en savourant ses plaisirs, allant du homard au simple café, toujours face à la mer.
Alors commençons ensemble cette promenade, nullement initiatique mais sans doute universelle, à l’île de Sein, bercée des mélodies de M. Jonasz («Et quand les vagues étaient tranquilles, on passait la journée aux îles») et L. Voulzy («Vous c’est l’eau, c’est l’eau qui vous sépare et vous laisse à part»).